Fermeture des carnets d'un inspecteur du travail
14 Octobre 2006 , Rédigé par JCR Publié dans #La France d'après
Il arrête parce qu'il a autre chose à foutre, qu'y dit. Que faut le lâcher maintenant... qu'il a une famille et que c'est déjà assez dur comme ça.
Le quotidien du monde du travail qu'il décrivait était réaliste, tellement réaliste. Ceux qui ont eu l'heur de fréquenter les boites d'intérim, de signer plus de contrats de travail que d'encaisser de treizième mois. Ceux qui ont bouffé de la merde avec le personnel et qui sont restés souvent plus tard pour finir le boulot. Ceux qui n'osent pas trop ouvrir leurs gueules parcequ'il faut remplir celles des gosses. Mais, ceux qui ont un jour foutu leur tablier dans la gueule du patron, ceux là, oui, tous ceux là, regrettent la fermeture des carnets d'un inspecteur du travail.
Restent les archives, première et deuxième partie, mais aussi les colères de Monolecte et les édifiants (effrayant?) carnets dun prof de ZEP...
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