Soda solidaire

La limonade qui donne soif!

La société Climpact propose à ses clients des indices d'impact climato-économiques afin qu'ils puissent ajuster leur activité en fonction de la prévision saisonnière. Pour cela, la start-up analyse le passé en mesurant l'incidence du climat sur la production et les ventes. A partir de cette analyse est établi un indice d'impact, indexé sur la prévision saisonnière, qui sert à mieux anticiper la demande.
Ainsi en 2003, l'effet canicule à induit une sur-consommation de sodas de 15% par mois. (également de mises en bières mais ce n'est pas le sujet).
"Fantastique cette canicule" s'ébaudissait-on chez les Pepsi-Coca, "Col(l)aborons au réchauffement global puisque les courbes des ventes suivent celles des températures".
Face de tels profits, inutile d'insister sur les accords de Kyoto, encore un traité qui fait  pschitt.

Puisque vous avez soif, plutot que de continuer à engraisser les fabricants de colas communs, buvez breton. Vous y trouverez vos huit morceaux de sucre, l'ajout de gaz carbonique et cette même jolie couleur noirâtre. Ou alors, encore mieux, buvez breton solidaire (au sucre roux du Costa Rica), avec le Beuk (rot en breton) distribué par la SCOP Kan ar Bed (le chant du monde) qui propose aussi une activité de catering-équitable avec le Boued circus (Manu Chao, Zebda, SkaP...). Filière commerce équitable.